Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
René Verney un médecin normand dans la grande guerre (43e RAC, 74e et 24e RI)
31 décembre 2023

43e RAD et 243e RALD, 1939-1944

 

 

 

43e régiment d'artillerie divisionnaire et

 

243e régiment d'artillerie lourde divisionnaire, 1939-1944

 

 

Lors de la mobilisation en septembre 1939, le quartier Decaen abrite le 43e RAD (voir chapitre précédent). Le 243e RALD (régiment d'artillerie lourde divisionnaire), recomposé à partir de ses 5e et 6e groupes se mobilisant quant à lui à Cherbourg. Unités hippomobiles, elles disposent, la première, de trois groupes de batteries de pièces de 75 et d'une batterie de défense antichar (10e batterie), dotée en novembre 1939 de pièces de 47, et la seconde, de deux groupes de batteries de 155C Schneider. Pour une approche des classes d'âge et l'origine géographique des contingents mobilisés voir : 1939-1945 Prisonniers de guerre du 43e RAD et 1939-1945 Prisonniers de guerre du 243e RALD.

 

Le 43e RAD (chefs de corps colonel Tisne puis colonel Debroise) et le 243e RALD (chefs de corps colonel Mallassinet puis commandant Le Lièvre de la Morinière), constituent l'artillerie divisionnaire de la 6e division d'infanterie (division de réserve de la 3e armée) et s'associent ainsi au mouvement des 36e, 74e, 119e RI et du 13e groupe de reconnaissance de division d’infanterie (G.R.D.I 13). Les JMO régimentaires conservés par le Service Historique de la Défense (43e RAD : 34 N 571/9 à 14 ; 243e RAD : 34 N 663/1 à 3), constituent ici une source de premier plan sur leur parcours durant le conflit.

 

Il en va de même du Journal de campagne et de prisonnier de guerre du capitaine de réserve Raymond Leconte, commandant la 3e batterie du 43e RAD, conservé aux archives départementales du Calvados (AD14 151J/5) dont nous proposons une exploration (Voir : 1939-1940 - Journal du capitaine Raymond Leconte, 43e RAD). Le récit  permet en effet de suivre au jour le jour le parcours de son unité, depuis la mobilisation jusqu'à sa reddition le 21 juin 1940. Prisonnier de guerre, son journal rend également compte des conditions de son transfert et de son séjour au sein de l'Oflag VI A à Soest en Rhénanie-du-Nord-Westphalie.

 

Carte de combattant de Raymond Louis Leconte (Montoire 1898 - Caen 1965)

Capitaine de réserve, commandant la 3e batterie du 43e RAD (1939-1940)

(Archives départementales du Calvados AD14 151/J5)

Accédez ici à la présentation et à la retranscription de son Journal

 

Durant la Drôle de Guerre les deux régiments d'artillerie qui accompagnent la 6e D.I. sont tout d'abord dirigés par train vers Novion-Porcien (Ardennes) pour une période d'instruction, participant entre septembre et octobre 1939 à des exercices et manoeuvres divisionnaires organisés au camp de Sissonne (Aisne).

 

En novembre et décembre, les unités de la 6e DI gagnent la ligne de défense de la frontière du Nord, région d'Hirson (Aisne), venant en renfort à la 9e armée en charge du secteur défensif. De janvier à mars 1940 la division réintègre la 3e armée se déplaçant en Lorraine, et prenant position sur la frontière de la Sarre, dans le secteur défensif du Boulay (Moselle). Les batteries du 43e RAD et du 243e RALD intégrées au Détachement Avancé de Soutien de la 6e DI, en position en avant de la ligne Maginot à Ham-sous-Varsberg et Creutzwald, y reçoivent le baptême du feu (de janvier à mi-mars 1940). La Division est ensuite placée au repos à l'est de Verdun (Meuse) de la mi-mars à début mai où elle est finalement mise en alerte.

 

Durant la Bataille de France la 6e DI est, à compter du 10 mai 1940, mise à disposition de la 2e armée qui assure la défense des derniers points forts septentrionaux de la ligne Maginot implantés dans la vallée de la Chiers (secteur fortifié de Montmédy, Meuse). Du 15 mai au 10 juin 1940 les 43e RAD et 243e RALD font ainsi face aux assauts des unités de la 16e armée allemande dont ils contribuent à stopper la progression alors que par ailleurs le front se disloque.

 

Tout d'abord positionnés à l'est de la Meuse dans le secteur de Stenay (Meuse), les unités participent au maintien de la ligne de front entre Inor et Malandry. Le 22 mai, la 6e DI est relevée et prend une nouvelle position à une quinzaine de kilomètres à l'ouest, sur la rive gauche de la Meuse, dans le secteur de Saint-Pierrepont et Sommauthe (Ardennes), où elle relève la 6e division d'infanterie coloniale à partir du 26 mai.

 

Le 243e RA de la 6e DI en position près de Stenay, secteur 2e armée, 20 mai 1940

Clichés ECPAD / SCA  - ref. 2ARMEE 106 B1170-B1190, B1210 (source : Images défense)

 

L'ensemble de ses unités y oppose une résistance acharnée face à un ennemi qui tente de percer vers le sud pour prendre à revers la ligne Maginot. Alors que la progression allemande a été contenue, le 10 juin 1940, est ordonné le repli général. 

 

La retraite qui s'engage, entraîne les 43e et 243e régiments d'artillerie jusqu'au sud de Toul (Meurthe-et-Moselle), où ils sont finalement capturés par l'ennemi le 21 juin 1940 dans les bois du Fey entre Thuilley-aux-Groseilles et Viterne. Débute alors pour les combattants, la détention tout d'abord en camps de transit notamment à Nancy et Bar-le-Duc, puis en Allemagne, le transfert ayant lieu entre la fin juillet et la fin août. Les officiers sont alors répartis entre différents oflags, les hommes du rang étant regroupés dans divers stalags où ils sont réquisitionnés et envoyés dans de multiples commandos de travail, aussi-bien pour des travaux de terrassement que dans des mines, des usines, des exploitations agricoles, voire chez des artisans ou des commerçants (Voir : Durand Yves, La Vie quotidienne des prisonniers de guerre dans les stalags, les oflags et les commandos 1939-1945. Paris, Hachette ed. 1975).

 

Au sein des 100 numéros de la  Liste officielle ... de prisonniers français : d'après les renseignements fournis par l'autorité militaire allemande : nom, date et lieu de naissance, unité, n° de camp "Frontstalag", "Stalag" ou "Oflag", périodique édité par le Centre national d'information sur les prisonniers de guerre entre le 12 août 1940 et le 15 juin 1941, il est possible d'identifier pas moins de 698 hommes du 43e RAD et 566 du 243e RALD. Nous renvoyons ici aux pages où ces listes sont restituées, car elles éclairent l'ultime étape de l'histoire régimentaire sous la forme de multiples parcours individuels (1939-1945 Prisonniers de guerre du 43e RAD et 1939-1945 Prisonniers de guerre du 243e R.A.L.D.).

 

 

 Accéder ici aux 100 numéros du périodique consultables sur Gallica 

 

 Raymond Leconte (1898-1965) capitaine commandant la 3e batterie du 43e RAD

 Journal de campagne et de détention ; plaque d'identité, matricule 3649, oflag VI A de Soest (Westphalie)

(Archives départementales du Calvados 151J/5 - Archives familiales Leconte)

Accédez ici à la présentation et à la retranscription du Journal

 

Raymond Leconte (1898-1965) capitaine commandant la 3e batterie du 43e RAD

plaque d'identité, matricule 3649, oflag VI A de Soest (Westphalie)

(Archives départementales du Calvados 151J/6 - Archives familiales Leconte)

Accédez ici à la présentation et à la retranscription de son Journal

 

Léon Leroux (1912-2007), canonnier 1ère classe au 243e RALD

Plaque d'identité, matricule 63014

Stalag VII A Moosburg-an-der-Isar (Haute-Bavière)

Sur son itinéraire voir : 1939-1945 Prisonniers de guerre du 243e R.A.L.D.

(documents famille Léon Leroux)

 

   Léon Leroux (1912-2007), canonnier 1ère classe au 243e RALD

commando ferme Xavier NASSL, Poigern (Haute-Bavière), 25/10/1942

Sur son itinéraire voir : 1939-1945 Prisonniers de guerre du 243e R.A.L.D.

(documents famille Léon Leroux)

 

Parallèlement la base des soldats décédés au cours de la seconde guerre mondiale accessible sur le site Mémoire des hommes, recense les noms de 78 hommes du 43e régiment d'artillerie bénéficiant de la mention "Mort pour la France". Ils y sont enregistrés comme appartenant soit au 43e RA, au 43e RAC ou 43e RAD.

Parmi ceux-ci, on peut dénombrer, malgré les imprécisions sur les conditions de leur décès, 1 homme mort au cours de la Drôle de guerre et pas moins de 35 morts au cours ou des suites de la Bataille de France. Par ailleurs on en dénombre 25, décédés durant leur détention en Allemagne.

 

De la même manière on peut identifier 45 hommes du 243e régiment d'artillerie "Morts pour la France" quant à eux enregistrés comme appartenant aux 243e RA, 243e RAC, 243e RAD ou 243e RALD.

Parmi ceux-ci on en dénombre pas moins de 12, décédés au cours ou des suites de la Bataille de France et 27 durant leur détention en Allemagne.

 

Suite à l'armistice signé le 22 juin 1940, les régiments sont dissous, le quartier Claude Decaen comme son annexe, l'ancien site de la pyrotechnie militaire étant placés sous l'autorité de l'armée allemande et rapidement transformés par l’occupant en camps d’internement.

 

 

Caen, reddition des soldats français à la caserne Claude Decaen, juin 1940

(Archives départementales du Calvados cote 2FI/882 Don de Jean-Paul Houdan)

 

Caen, quartier d'artillerie Claude Decaen,

civils rendant visite aux prisonniers de guerre français à la caserne (été 1940 ?)

(Archives départementales du Calvados cote 2FI/882)

 

De 1941 à 1944, il est procédé dans l'enceinte  de la caserne d'artillerie, à l'exécution capitale d’une soixantaine d’otages civils français. Une simple plaque commémorative, implantée au croisement de l’avenue Georges Guynemer et de l’avenue du 43e régiment d’artillerie, en entretient aujourd'hui la mémoire (voir le site : sgmcaen.free.fr).

 

Plaque souvenir en hommage aux fusillés du quartier Claude Decaen.

 

Caen, Kaserne - Quartier Claude Decaen, cliché allemand (1940-1944)

(photographie originale - coll. verney-grandeguerre)

 

Parmi les victimes de la répression nazie, une place doit ici être réservée à Louis Jules Eugène Renouf (Caen 1917 - Caen 1944), engagé volontaire au 43e RAD en 1939 au grade de 2e canonnier conducteur et affecté à la mobilisation à sa 6e batterie (2e groupe).

 

Combattant durant la Drôle de guerre et la Bataille de France au sein du 43e RAD (Voir : 1939-1940 - Journal du capitaine Raymond Leconte, 43e RAD), il est fait prisonnier le 27/06/1940 à Vézelise (Meurthe-et-Moselle). Interné au stalag III B de Fürstenberg-sur-Oder près de la frontière polonaise, il est affecté comme travailleur dans une mine de Silésie puis comme ouvrier agricole dans une ferme. Libéré le 23/08/1941 en tant que soutien de famille, il est de retour à Caen le 25/08/1941. Après une période de convalescence, il reprend son activité professionnelle de mécanicien tout d'abord au sein de différents garages de Caen, puis à la SNCF comme sérrurier auxiliaire au dépôt de Caen.

 

Membre du réseau de résistance Front national, il est arrêté sur dénonciation par la Gestapo le 15/05/1944 et fait partie des détenus sommairement exécutés au sein de la maison d'arrêt de Caen, le 06/06/1944 (voir ensemble de documents personnels et notice biographique par son frère Claude conservé aux AD 14). Elevé à titre posthume au grade de sous-lieutenant de Forces Françaises Combattantes (Résistance Fer), il est fait chevalier de la Légion d'honneur, décoré de la Croix de guerre avec palme et de la médaille de la résistance. Une rue de Caen porte désormais son nom.

 

Renouf Louis Jules Eugène

Louis Renouf (d'après document orginial AD 14)

 

(voir également Le massacre de la maison d'arrêt de Caen, 6 juin 1944 sur le  site des AD14  et Quellien Jean, Vico Jacques, Massacres nazis en Normandie, les fusillés de la prison de Caen. Charles Corlet ed. 2004. ISBN 2847061533).

 

 

Parmi les anciens officiers du 43e régiment d'artillerie impliqués dans les combats de juin 1944, nous devons citer les noms des capitaines Louis Cyrille Dommanget (Vanault-le-Châtel 1881 - Caen 1944) et Robert Louis Le Coutour (Coutances 1894 – Caen 1944).

 

Le capitaine Dommanget, admis en 1934 à faire valoir ses droits à la retraite, occupe alors les fonctions de Chef de section de la défense passive. Il est tué le 6 juin 1944 à son poste au PC n°5 (rue de Falaise)(voir Index des noms de personnes)

Le capitaine Le Coutour, ancien commandant de la 13e batterie du 43e RAD en 1938-1939 et affecté au 82e R.A.N.A en mars 1940, est radié des cadres d'office en septembre 1942. Engagé dans la résistance dès la fin de 1940 au sein de l'Armée des volontaires, puis au sein de l'Organisation civile et militaire (OCM), il est nommé en 1944 chef des FFI de l’arrondissement de Caen. C'est dans cette fonction qu'il est mortellement blessé en service commandé le 6 juin 1944 à  Caen, rue des Jacobins (voir la présentation qui lui est consacrée sur site des Archives du Calvados).

 

Capitaine Dommanget                   Capitaine Le Coutour

Capitaine Louis Cyrile Dommanget        Capitaine René Louis Le Coutour

         Album R. Verney p. 83                  Archives du Calvados cote 6J/72

 

 

Voir la suite

 

Epilogue 1/43e RA 1956-1966

 

 

 

Commentaires
Visiteurs
Depuis la création 124 886
A LA UNE


Le 43e RAC  : de Rouen à Caen 1911-1940
 

     Introduction - Création du 43e RA

     43e RA cantonnement à Versailles 1911-1915

     43e RA cantonnement à Saint-Cloud hiver 1914-1915

     43e RAC cantonnement à Rouen 1911-1913

     43e RAC casernement à Caen 1913-1918

     43e et 243e RAC retour des poilus à Caen 1919

     243e RAC occupation de la Rhénanie 1920-1922

    43e RAD casernement à Caen et Cherbourg 1923-1938

     43e RAD et 243e RALD 1939-1940

    I/43 RA 1956-1966 et épilogue


Le 43e RAC, 1914-1918


43e RAC, Recrues en formation, 1915

Pyrotechnie militaire de Caen et 43e RAC

L’équipe médicale du 3/43e RAC

André Roussel combattant photographe du 43e RAC

Les lettres du Capitaine Eugène Jobit 1914-1915

Lettres et correspondances des poilus du 43e d'artillerie


Les lettres du sous-lieutenant Maurice Alliot 43e RA

Premières victoires aériennes : le 43e RAC pour témoin

La guerre des gaz et la 5e Division d'infanterie

Chemin des Dames et mutineries à la 5e DI

L'Escadrille C4 - été 1915


Photographies aériennes, Neuville-St-Vaast 09/1915

Base Mémoire des hommes : le 43e RAC Indexé !

La Belle jardinière en deuil (1914-1918)


J. Brunel de Pérard : Témoin de 20 ans au 43e RAC

Patrimoine, destructions et "tourisme de guerre"


Médecin dans l'enfer de Verdun avril-mai 1916

BRAUN père et fils :  de Verdun à Verdun 1e RAC5 /04/1916

Véhicules et armements motorisés 1915-1918


Fausse batterie sur la Somme, janvier-février 1916


Troupes coloniales : 1915 et 1916

Artillerie lourde : 1915,1916 et 1917


L'hymne du 43e d'Artillerie


1939-1940 - Journal du capitaine R. Leconte 43e RAD

1939-1945 Prisonniers de guerre du 43e RAD


1939-1945 Prisonniers de guerre du 243e RALD


 

JOURNAL RESTITUE ILLUSTRE DE RENE VERNEY

 

 

I Mobilisation, Belgique, Bataille de la Marne (1er août - 12 septembre 1914)

-Journal de marche restitué I

 

 

II Front de l'Aisne (13 septembre 1914 - 22 mai 1915)

-Journal de marche restitué illustré II

Les 137 clichés du front de l'Aisne 43e RAC

 

 

 

III Front d'Artois (23 mai - 25 octobre 1915)

-Journal de marche restitué illustré III

Les 159 clichés du front d'Artois 43e RAC

 

 

 

IV La Somme (25 octobre 1915 - 28 mars 1916)

-Journal de marche restitué illustré IV

Les 32 clichés du front de la Somme 43e RAC

 

 

 

V Verdun : 29 mars - 20 juin 1916

-Journal de marche restitué illustré V

Les 47 clichés de Verdun 43e RAC

 

 

 

VI Les Eparges : juin 1916 - mars 1917

-Journal de marche restitué illustré VI

Les 42 clichés du secteur des Eparges 43e RAC

 

 

 

VII Chemin des Dames : 28 mars - 1er sept. 1917

-Journal de marche restitué illustré VII

Les 73 clichés du Chemin des Dames 43e RAC

 

 

 

VIII Saint-Quentin : 2 sept. 1917 - 17 janv. 1918

-Journal de marche restitué illustré VIII

Les 34 clichés du secteur de Saint-Quentin 43e RAC

 

 

 

IX Champagne (18 janvier - 20 juin 1918)

-Journal de marche restitué illustré IX 43 RAC (18 janvier - 14 mars 1918)

Les 7 clichés du secteur de Champagne 43e RAC

 

-74e RI - Souain, printemps 1918

-Journal de marche restitué illustré IX 74e RI (14 mars - 25 mai 1918)

Les 24 clichés du secteur de Champagne 74e RI

 

-24e RI été-automne 1918

-Journal de marche restitué illustré IX 24e RI (1er-20 juin 1918)

Les 4 clichés du secteur de Champagne 24e RI

 

 

 

X Aronde et Matz 24e RI : 21 juin - 8 sept. 1918

-Journal de marche restitué illustré X

Les 27 clichés de l'offensive sur l'Aronde et le Matz 24e RI

 

 

 

XI Aisne et Sissonne 24e RI : 9 sept. - 11 nov. 1918

-Journal de marche XI illustré HD

Les 2 clichés de l'offensive sur l'Aisne, Sissonne 24e RI

 

 

XII Armistice et Palatinat 24e RI : 11 nov. 1918 - 23 fév. 1919

-Journal de marche restitué XII 24e RI

 

 

Les 217 planches de l'Album original

 

 

 

LIENS ESSENTIELS


Les JMO régimentaires
Mémoire des hommes (SDH)



Morts pour la France
Mémoire des hommes (SDH)


Le 43e RAC
Historique régimentaire




Le 74e RI
Bleu horizon le site du 74e  RI
et

Historique régimentaire


Le 24e RI
Historique régimentaire



Le 129e RI
Histoire des régiments havrais
et
Historique régimentaire



Le 36e RI
Le 36e RI des normands dans la Grande Guerre
et

Historique régimentaire



Le 39e RI
Historique régimentaire



Le 274e RI
Historique régimentaire




Le 5e RI
Historique régimentaire




Le 11e RAC
Historique régimentaire



Le 22e RAC
Historique régimentaire




Escadrille C4
albindenis



La Petite revue bas-normande
durant la guerre



Les Albums Valois
50 000 clichés de la Section phtographique de l'armée (SPA)
accessibles en ligne



Cartographie 1914-1918
Le front ouest de la première guerre mondiale
au jour le jour



MemorialGenWeb
bases de données :  monuments commémoratifs ;
hommes morts par fait de guerre ; sépultures de guerre



Tableau d'honneur de la guerre 1914-1918
planches parues dans le journal l'Illustration


Index alphabétique des héros

Accès aux planches

 


Répertoire des sites web sur la Grande guerre

Guerre 14-18.fr

 

 

Actualités & ressources sur la Grande guerre

CRID 14-18

 

 

 

Verney grandeguerre

Verney grandeguerre


Verney grandeguerre

Verney grandeguerre